Bientôt le printemps dans le vallon des hirondelles
En cette fin d’hiver nous profitons des températures clémentes pour visiter un sommet proche du littoral. Bien agréable d’arriver rapidement au lieu du RDV, le pont du bec de l’Esteron. Certains auraient même pu venir à vélo.
Le parcours est simple, avec une longue grimpette bien connue des routeux jusqu’au mont Vial, puis une longue descente jusqu’au vallon des hirondelles, fréquenté habituellement par les canyonistes. Aujourd’hui nous ferons les deux, mais à Vtt.
Sylvain: Nous étions 4 avec François , Antoine , Éric et moi. La montée commence fort avec un poussage assez abrupte, ce n’est guère mieux lorsque l’on retourne sur la piste et ce sera pentu jusqu’à Gilette.
Passé Gilette, ce sera de la route jusqu’au mont Vial. Une montée un peu longue, pas trop pentue et sympa dès lors qu’on on a un ou plusieurs partenaires de ballade avec qui discuter.
Sylvain: “Après la manche à air nous (je) accélérons pour le dernier km jusqu’à l’arrivée au “paratonnerre” qui demande un court portage. Nous resterons au sommet un bon moment à déguster nos fougasses.”
Après la pause repas-noramique, Sylvain s’échappe, pour aller taquiner les chèvres aperçues du sommet. Arrivé sur place il a droit à un léchage gentil qui se transforme rapidement en une prise d’assaut par l’ensemble du troupeau. Epilation garantie…. On récupère les vélos et on attaque la descente vers le Col du Serse. Une superbe série d’épingles qui commencent fort (serrée) puis s’adoucit en arrivant au col. Du col un long travers avec des paysages variés revenant vers Revest-les-roches.
Sylvain : Après quelques mètres Antoine, un peu trop tendu, rate un virage pour se retrouver dans les broussailles, cela le mettra mal à l’aise pour le reste de la descente.
De retour sur Revest-les-roches, nous rejoignons le collet des sausses puis le collet saint andré au dessus de Bonson. Pause panorama avec aperçu sur Levens et sur le rocher d’escalade de Bonson avant de se lancer dans la descente en sous-bois du fameux vallon des hirondelles. Éric en profite pour se prendre une belle chute sur une partie anodine. Une très belle descente jusqu’à l’arrivée au gros chêne.
A partir du gros chêne le sentier devient pierreux, fuyant, moins intéressant vttisquement parlant, mais très sauvage et original. François y laissera un bout de dérailleur.
Sylvain : Arrivés à la voiture, Antoine se rend compte qu’il a perdu son portable . Après 30 minutes passées à tenter de le geo-localiser, Antoine, dépité, rentre chez lui. Nous rappellerons sans cesse et arriverons à joindre une personne qui l’a retrouvé et qui lui met à disposition .
Encore une belle journée sur les sommets, dans les vallons et pour les hirondelles, on n’en a pas a pas vu, donc c’est visiblement pas encore le printemps.
A partir du chene: le sentier devient quasi invisible avant de redevenir “frequentable” peu avant le canal. Vous avez pas trop galéré sur cette section? Et sympa le retour par la voie ferree (train toujours suspendu pour travaux, je pense). Nous on etait rentres par la penetrante en se faisant copieusement klaxonner par des glands… Sous la pluie!! :o))))
Plus exactement: “en sortant du vallon” quand on revient sur la vallee du Var, sorry. 😉
J’osais pas poser la question pour le train…
le sentier est marqué mais peu roulant et fuyant avec de nombreux cailloux qui cherchent à se faire un dérailleur…)